Soyez prudent...Les enfants.

Admin Messages : 42 Date d'inscription : 30/08/2009 Localisation : chez... Moi

Shoubi s'assit à une table, commandant un verre d'eau, laissant ses idées et pensées vagabonder au plaisir de la musique. Un homme l'acosta, sans plus attendre.

-Salut ma belle...

Shoubi lui lança un regard sadique et froid, avant de se lever. et de planter ses yeux dans ceux de l'autre profiteur.

-Tsss...Encore un humain en chaleur.

Il lui lança un regard méchant à son tour ce qui fit rire Shoubi de ses lèvres rosée. Elle le regarda partir vers le bar. Shoubi détourna les yeux pour regarde rles gens danser et bouger leurs corps. Elle se mit à marcher vers la piste puis se lâcha petit à petit. Un grand nombre d'humain en manque vinrent se frotter contre elle. Loin d'être répugnant mais Shoubi voulait rester seul et trouvait l'amour trop pathètique pour être mit dans un coeur. Le serveur vint vers elle, lui dire que son verre était prêt. Après encore quelques minutes, Shoubi s'arrêta en sueur. Attrapant son verre à la volée, elle le refroidit en quelques secondes et le but d'une traite. Sentant un petit arrière gout, elle sentit non lojn l'odeur de la cigarette. Elle se retourna et marcha vers les fumeurs. Shoubi leur indiqua le panneau non fumeur et ecrasa une cigarette.

-pauvre con, c'est interdit!

Il la toisa du regard et se leva de son tabouret. Il lui tourna autour et s'arrêta derrière elle, l'enlaça par la taille et la colla contre son torse. Il lui tourna le menton. Jusque la , Shoubi se laissa faire sans protester. L'homme la regarda dans les yeux et lui dit avec une voix de séducteur

-Tu me plait bien toi la petite rebelle. Sa te dit un petit coup avec moi?

Shoubi laissa partir la claque qui chauffaut dans sa main. L'homme se retrouva sur le comptoir, avec une Shoubi qui le toisait d'un air froid et méchant.

-Les humains comme toi sont pathétiques...

Puis elle tourna les talons et se remit à danser. Bientôt de nouveau en sueur, elle s'approcha de son verre remplit de nouveau. L'homme de tout à l'heure était autour de sa table et déguerpit très vite en la voyant arriver. Elle attrapa son verre en regardant le groupe qui riait sous cape en la dévisageant. Doucement, elle rejoint de nouveau la piste et se remit à danser avec frénésie au son de la musique entrainante. Puis la tête lui tourna, elle se sentait vraiment mal et rejoint sa table en titubant. Les hommes vinrent la voir, Il était trois, trois petit cons, qui avait verser dans son eau de la drogue. Elle les regarda méchament et essaya de se proteger avec une barrière de glace mais elle n'était pas assez concentrer pour lancer l'attaque et se retrouva bientôt dans les bras de l'humain qui lui lança sur l'air méchant qu'elle lui avait vu la première fois.

-Je t'avais dit que je tirerais mon coup se soir avec toi...

SHoubi lui lança un regard noir avant de se rattraper au cou de l'humain pour ne pas tomber par terre

-Co**ard...

L'humain sourit sadiquement avant de rigoler franchement. Il la traina sur quelques mètre vers le bar car elle était complètement incapable de marcher d'elle même, Il la regarda dans les yeux et l'embrassa fougueusement

-C'est pas à dire ma petite p*te.

Puis il se tourna vers le barman et lui sourit sadiquement vant de lui montrer Shoubi d'un coup de tête.

-Une chambre, j'en ai trouver une bo**e

Le barman lui rendit son sourire en acquiesant

-Ouai, un vrai canon celui ci.

Shoubi leva le regard et se redressa un maximum

-Vous êtes vraiment tous...

Les deux autres l'aidèrent à monter les escaliers. Shoubi se sentait partir et s'évanouit. Pendant un long moment, le noir complet avait envahit son espri, comme pour dire STOP!! Elle ne voulais même pas assister à ça consciente, sa aurait été trop dur pour elle. Son cerveau était en état de veille. Quand elle dégna se reveiller, Shoubi était nue, sur le lit. Ses vêtements sauvagement arrachés sur le sol. Elle se rassit en hâte sur le lit et attrapa le drap. Elle se cacha avec. Shoubi avait peur, peur...

Elle commença à sangloter, des larmes froides, des larmes de tristesse, de désespoir, de peur. Elle repensa à sa soirée et cria de toute ses forces. Mais quelle conne elle faisait, pourquoi la vie était-elle si cruelle. Elle pleura toute les larmes de sont corps, les seuls depuis qu'elle avait vu ses parents mourrir. Elle attrapa ses vêtements en hâte, se réhabilla en hâte et s'enfuit en courant le plus vite possible, pleurant encore.